Le désert s’étendait à bien perte de commune, une mer infinie de sable doré ondulant sous la luminosité blanche du soleil. Le vent chaud sculptait les dunes en vagues éphémères, effaçant toute indice de passage. Ici, dans cet point hors du destin, où le silence était également dense que l’air https://benoittuwuu.blogdun.com/34197521/les-messagers-du-sable-du-desert