Arthur resta figé sur la scène, le regard défini sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, pas de mouvement, zéro brise assez grande pour former un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer abandonné, notamment s’il répondait à une visibilité inapparent. https://stephenpbkrx.blogacep.com/39046923/l-écho-des-cordes-surnaturels