Le calme pesait lourdement dans l’horlogerie abandonnée, juste géné par le tic-tac varié des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait légèrement entre les étagères recouvertes de poussière, décidant de suivre tout cadran, chaque engrenage figé ou en mouvement. Ici, le temps ne suivait plus une seule lamanage. Il se fragmentait, https://johnj642qaj2.theisblog.com/profile